Se ressourcer avec des poèmes et des livres.
Renouveau par la lecture
Des poèmes..
Des livres..
« Jonathan Livingstone le Goéland » de Richard Bach, Edité en livre de poche.
Ce livre a été écrit par un ancien pilote de l’US Air force, Richard Bach qui est l’arrière, arrière-petit-fils du grand compositeur : J.S Bach.
Le message de ce livre nous dit que l’homme peut se libérer de ses barrières qui le limitent, elles ne sont qu’illusions.
L’association Jonathan Pierres Vivantes a été créée en 1978. Ses fondateurs lui ont donné ce nom car leur fils Bruno, décédé accidentellement, aimait la musique du film “Jonathan Livingston, le Goéland “. Le goéland devint l’emblème de l’association.
« Sans Elle » de Alma Brami, Edition Mercure de France.
A quel âge comprend-on que la mort est irréductible ?
Ici, à dix ans, lorsqu’une question se pose : qui est-t ’on quand on n’est plus la sœur de personne ? Ainsi, Léa se retrouve seule à prendre soin de sa mère, avec comme bagages toute sa tristesse et ses angoisses. Oscillant entre pragmatisme, fantasmes et souvenirs, ce monologue se veut d’une justesse irréprochable. Car traiter d’un sujet tragique sans tomber dans l’épanchement ou encore céder au registre larmoyant n’est pas tâche facile. Le ton, parfait, sans aucun dérapage, ne verse jamais dans le pathos et se révèle d’une merveilleuse finesse.
En effet, combien d’écrivains – certains, majeurs – ont échoué à la tâche de se transposer dans ce monde naïf qu’est celui de l’univers enfantin ? Récit à la fois dur et émouvant, ‘Sans elle’ touche tant par sa naïveté que par sa capacité à raconter la précipitation dans le monde des adultes. Alma Brami signe ici, à l’âge de vingt-trois ans, un premier bouleversant sur le rapport à l’absent(e) et sur la force des liens filiaux. Ne plus avoir peur de l’avant, de l’après. Ne plus craindre c’est… grandir.
Quand Solène est morte, Maman a arrêté de me coiffer le matin, elle n’avait plus le temps et plus l’envie. Solène est morte et moi j’ai grandi d’un coup.
« La nuit s’approche. l’aube va arriver. méditation sur la mort » de Guy Gilbert, Editeur Philippe Rey.
Prêtre-éducateur depuis près de cinquante ans, celui qui proclame que « la rue est son église » aide au quotidien des dizaines de jeunes en perdition. La Bergerie du Faucon, qu’il a restaurée en Provence, les accueille et leur offre la chance d’une nouvelle vie grâce à un encadrement compétent. Guy Gilbert est l’auteur d’une quarantaine de livres dont “La vieillesse”, “un émerveillement” et “Réussis ta vie
« Dans ce livre, je veux transmettre toute mon espérance. Quand la mort nous frappera, il est beau de savoir que nous irons vers Dieu. Alors elle n’est plus à craindre car elle sera une merveilleuse rencontre avec Celui que nous avons tant prié sur terre, et qui nous attend. »
Comment apprendre à apprivoiser nos propres peurs, à accompagner des proches qui vont mourir, à faire face au vide de l’absence, au dur apprentissage du deuil.
« Se libérer de la souffrance » de Mark Epstein, Editions Albin Michel.
Christophe Fauré, psychiatre français spécialisé dans l’accompagnement des « ruptures de vie pose clairement le sujet dans sa préface : « la vie est souffrance »
Le Bouddha l’avait dit avant lui et son enseignement repose sur ce point. Comment supporter, dépasser la souffrance ? Comment se situer au-delà de nos peines quotidiennes ? Est-ce la souffrance elle-même qui nous détermine, ou notre façon de l’appréhender ?
Conjuguant connaissances psychiatriques les plus actuelles et pratique de longue date du bouddhisme tibétain, Mark Epstein se risque à une analyse de la souffrance du Bouddha. Le propos s’avère fructueux pour le lecteur. Si celui-ci mettait en application cette lecture du traumatisme ? Si cette vision, cette pratique, lui évitaient le cortège de stratégies symptomatiques destinées à éviter à tout prix sa souffrance ? Addictions, multiplication des relations amoureuses, accumulation de biens, antidépresseurs. Mark Epstein dessine ici une voie salutaire : une dynamique psychique synonyme de libération,
« Dors, demain ça ira mieux » de Lucie Monnac, édition. Albert Lafont
Trois ans dans l’engrenage des hôpitaux psychiatriques
A 18 ans, Lucie est une jeune femme comme tant d’autres, avec une joyeuse bande d’amis, un amoureux attentionné et une vie de lycéenne qui lui plaît. Un an plus tard, la voilà internée dans un établissement psychiatrique, soumise à un lourd traitement, coupée du monde. Un événement difficile, une crise de détresse aiguë et l’impuissance de l’entourage l’ont précipitée dans les mains de « professionnels ».
A ses parents, on dit de ne surtout s’occuper de rien. Maniacodépressive, bipolaire, schizophrène » : les diagnostics se succèdent sans se ressembler, hors leur caractère incurable décrété par les médecins. Durant trois ans, Lucie va dépérir seule derrière ses murs, avaler des psychotropes par poignées, subir des électrochocs, mais aussi la démence ordinaire des autres pensionnaires, l’inhumanité d’une partie du personnel, l’absence totale d’écoute, amicale, familiale et surtout « médicale ».
Un jour, Lucie a réussi à sortir de cet engrenage. Elle a aujourd’hui 31 ans, une petite fille de 4 ans, et travaille dans un lycée comme employée de vie scolaire, aidant les élèves en situation de handicap à suivre un cursus normal. Elle a écrit ce livre parce que d’autres n’ont pas eu cette chance et qu’il est grand temps que les choses changent.
« Ma vie en partage » de Martin Gray, éd. L’aube
Plus de dix ans après la parution de son dernier livre, Martin Gray, âgé de 92 ans, sort de son silence grâce à Mélanie Loisel, jeune journaliste canadienne. Stupéfiée par le destin de cet homme à la résilience peu commune, elle est allée le trouver et lui a posé les questions que nous aimerions tous lui poser sans voyeurisme, mais sans timidité.
Qu’a-t-il à nous dire, ce survivant du ghetto de Varsovie, cet homme qui a vécu le pire, d’abord lors de la deuxième guerre mondiale, puis avec la perte tragique de toute sa famille dans un incendie sur la Côte d’Azur ? Eh bien, il nous délivre un message de force de vie incroyable ! bien au-delà du récit de son parcours, ces entretiens précisent le rapport de Martin Gray au monde moderne, des grandes questions écologiques à la jeunesse, en passant par l’alimentation, la santé. Un entretien passionnant !
« Excusez moi. je suis en deuil » De Jean Monbourquette et Isabelle D’Aspremont (Editions Novalis.)
Nos contemporains ont l’épiderme sensible : ils ne supportent pas que nous parlions de mort et de deuil, mots devenus tabous pour eux. Nous ne pouvons plus évoquer ces sujets sans créer chez nos vis-à-vis un climat d’ennui et de mélancolie, voire de dépression.
Si le déni social de la mort et du deuil prévaut, que dire du sort des endeuillés eux-mêmes ? Ils se sentent malvenus dans une société qui adopte un « non-dit » devant ces réalités déjà pénibles à vivre. Au beau milieu d’une société réfractaire à la mort, les membres d’une famille qui vient de perdre un être cher ne savent plus comment se comporter et évoluer dans leur état de deuil. Notre société a perdu une sagesse d’autrefois, celle de réconcilier la vie à la mort.
Cet ouvrage s’adresse aux personnes endeuillées et veut les aider à vivre cette étape avec sérénité. Il y est question de stratégies pour résoudre les blocages vécus dans le deuil, de l’importance des rites funéraires et des groupes de parole sur te deuil.
« Vous n’aurez pas ma haine ». d’Antoine Leiris (Editions Fayard).
Antoine Leiris a perdu sa femme, Hélène Muyal-Leiris, le 13 novembre 2015, assassinée au Bataclan. Accablé par la perte, il n’a qu’une arme : sa plume.
À l’image de la lueur d’espoir et de douceur que fut sa lettre « Vous n’aurez pas ma haine », publiée au lendemain des attentats, il nous raconte ici comment, malgré tout, la vie doit continuer.
C’est ce quotidien, meurtri mais tendre, entre un père et son fils, qu’il nous offre. Un témoignage bouleversant.
« Dis, c’est comment quand on est mort ? » d’Hélène Romano et Thierry Baubet (La Pensée Sauvage Editions).
Cet ouvrage est issu de la riche expérience de l’auteur dans la prise en charge d’enfants et de familles brutalement endeuillés par la maladie, par un accident, par une catastrophe, par une agression ou par un suicide.
Hélène Romano, docteur en psychopathologie, psychologue clinicienne et psychothérapeute propose de répondre aux questions qui lui sont le plus souvent posées par les enfants et par leurs parents lorsque la mort vient bouleverser leur vie.
Thierry Baubet, psychiatre, a participé à la rédaction de certains chapitres. Cet ouvrage n’a pas pour objectif d’apporter des recettes toutes faites : chaque enfant est unique, chaque histoire est singulière et chaque chemin sera à coconstruire de façon différente avec l’enfant, ses proches et ceux, professionnels ou non, qui les accompagneront. « Le Souffle va où il veut »
« Entretiens » par Lytta Basset et Rosette Poletti Ed. Labor et Fides, 2013
Deux personnalités pionnières en théologie et en accompagnement partagent dans ces entretiens leurs expériences de vie.
Dans les domaines de la spiritualité, de l’accompagnement des malades et des mourants ou encore dans les temps de crise traversés par nombre de contemporains en quête de sens, Lytta Basset et Rosette Poletti renouvellent les réponses à apporter, le plus souvent hors des institutions classiques.
Les succès de librairie de Lytta Basset, les audiences à guichets fermés de ses conférences et la fortune des articles de Rosette Poletti dans la presse populaire, celle de ses animations de retraites, sont autant d’indicateurs de l’impact de ces deux personnalités habitées par le Souffle. Quels sont leurs parcours, leurs vocations et leurs regards sur la société en général ?
Lytta Basset et Rosette Poletti échangent, en dialogue avec Serge Molla, des propos sur leurs trajectoires personnelles, sous l’angle des grands défis posés par la santé, la mort et la spiritualité.
Lytta Basset est l’une des grandes figures de la pensée chrétienne contemporaine. Professeure de théologie et pasteure, elle propose dans ses recherches une nouvelle lecture de la Bible et de la tradition qui répond aux interrogations individuelles et contemporaines sur le pardon la joie, la colère, l’amour ou le deuil. Derniers livres parus : « Ce lien qui ne meurt jamais », et « Aimer sans dévorer »
Docteure en soins infirmiers et en sciences de l’éducation, psychothérapeute, Rosette Poletti est responsable d’un centre de formation à l’accompagnement des personnes en difficulté, chroniqueuse au « Matin Dimanche » depuis 1987 et animatrice de retraites. Elle est l’auteure de plusieurs publications dont, récemment, « Le sens des autres ».
« Orphelins d’un enfant » de Cécile Paris, éd. du Cerf, 2013
On dit « veuve ou veuf » lorsqu’on a perdu son conjoint, « orphelin » lorsqu’on a perdu ses parents, mais il n’existe pas de mot pour désigner les parents qui ont perdu un enfant.
Cécile et Benoît sont donc « orphelins » de leur fils Vianney et Henry de leur frère de sang, les Dominicains de leur frère en religion. Vincent avait trente ans lorsqu’il mourut il venait de faire « profession solennelle » dans l’ordre des Frères Prêcheurs, les Dominicains.
Quand Cécile, sa mère, prit des notes dans un petit carnet qui devint un journal relatant ce qu’elle vivait auprès de son fils, alors en phase terminale d i un cancer du poumon, elle était loin de se douter que cela aboutirait à l’écriture de ce livre. Sa route devint une véritable quête spirituelle pour comprendre ce qui avait permis à son fils de passer si vite, sans fléchir, « de la mort à la vie ».
Après de solides études, Vincent avait fait le choix de la vie religieuse pour transmettre sa foi. Comment a-t-il accepté sa mort sans révolte ? Comment sa mère, si passionnément engagée dans sa maternité, peut-elle affirmer que, malgré tout, la vie est magnifique ?
Se voulant à la fois un témoignage et un réconfort pour ceux qui, comme elle et Benoît, sont des mères et des pères sans nom, « Orphelins d’un enfant », tente de répondre à ces questions. Musicienne, organiste, Cécile Paris réside avec son époux à Rennes, est engagée en Eglise ou elle multiplie les concerts et les accompagnements liturgiques.
« Le vertige du suicide lettre aux proches désemparés » de Joël Pralong, éd. EDB
De par sa vocation de prêtre, Joël Pralong côtoie des jeunes tentés par le suicide ainsi que des familles touchées par une telle épreuve. Ce sujet tabou, dont on n’ose pas parler, suscite nombre de questions : est-ce un acte de courage, une fuite ou une lâcheté ? Est-ce un acte vraiment libre et pleinement responsable et surtout quelle prévention peut-on envisager ? L’auteur n’élude aucune de ces questions. Il délivre un message de consolation et d’espérance et célèbre le don de la vie.
Un livre qui pourra éclairer bien des personnes et ouvrir au dialogue.
Joël Pralong, curé dans le diocèse de Sion, en Suisse, a été ordonné prêtre en 1984. Il s’intéresse aux voies spirituelles qui aident la personne humaine à grandir et à devenir pleinement elle-même, au-delà de ses failles, manques et fragilités.
« Le ventre arraché » de Aurélie Monkam Noubissi, éd. Bayard
Le 28 septembre 2012, à Echirolles, le jeune Kévin Noubissi, un étudiant âgé de 21 ans, est sauvagement tué, avec son ami Sofiane, par une bande de jeunes de la cité voisine qu’il ne connaissait pas.
Un an après, avec une force impressionnante et une grande dignité, sa mère Aurélie Monkam, camerounaise, pédiatre exerçant en cabinet près de Grenoble, raconte le chemin intérieur qu’elle a parcouru pour faire face au meurtre de son fils ; son questionnement sur les responsabilités sociales ; sur le nécessaire investissement éducatif dans les quartiers ; sur sa volonté de poursuivre son travail de pédiatre. Portée par cet engagement professionnel et par une foi profonde, elle dit, dans ce témoignage bouleversant, comment elle garde espoir en l’avenir
« La mort ne peut pas avoir le dernier mot. L’espérance doit nous habiter, c’est un risque à courir. Un des héritages que nous devons laisser à nos enfants. »
« Du bonheur, un voyage philosophique », de Frédéric Lenoir, Ed. Fayard
Qu’entendons nous par « bonheur » ? Dépend il de nos gènes, de la chance, de notre sensibilité ? Est-ce un état durable ou une suite de plaisirs fugaces ? N’est-il que subjectif ? Faut-il le rechercher ? Peut-on le cultiver ? Souffrance et bonheur peuvent-ils coexister ?
Pour tenter de répondre à ces questions, Frédéric Lenoir propose un voyage philosophique, joyeux et plein de saveurs. Une promenade stimulante en compagnie des grands sages d’Orient et d’Occident. Où l’on traversera le jardin des plaisirs avec Epicure. Où l’on entendra raisonner le rire de Montaigne et de Tchouang-tseu. Où l’on croisera le sourire paisible du Bouddha et d’Epictète. Où l’on goûtera à la joie de Spinoza et d’Etty Hillesum. Un cheminement vivant, ponctué d’exemples concrets et des dernières découvertes des neurosciences, pour nous aider à vivre mieux.
« Être heureux, c’est aimer la vie, toute la vie : ses traits de lumière et ses phases de ténèbres… c’est traverser les chagrins pleinement et sans retenue, comme jouir pleinement et sans retenue de tous les bons moments offerts. C’est aimer ses proches le cœur grand ouvert. »
« Vivre le deuil au jour le jour » du Dr Christophe Fauré, Editions Albin Michel
Ce livre décrit les différentes phases du cheminement du deuil, analyse les sentiments (colère, culpabilité, dépression….) qui envahissent l’endeuillé. Aidant à mieux comprendre le deuil et les sentiments qu’il génère, permettant de mieux accompagner celui qui souffre, ce guide psychologique à l’usage des personnes endeuillées et de leur entourage apporte un vrai réconfort.
« Après le suicide d’un proche, vivre le deuil et se reconstruire » du Dr Christophe Fauré, Editions Albin Michel
Ce livre décrit les différentes phases du cheminement du deuil, en prenant en compte le tabou autour du suicide et, à partir de nombreux témoignages, .en abordant la spécificité des sentiments après la mort d’un proche par suicide.
« Vivre après ta mort » : du Docteur SAUTERAUD. Editeur : Odile Jacob
Ce livre traite du deuil et s’adresse aux personnes endeuillées et à ceux qui les accompagnent. Il répond à toutes les questions que l’on se pose lorsque l’on est en deuil : les différentes phases, les ressentis, la tristesse et la dépression etc… dans un langage simple et respectueux.
« Vivre après le suicide d’un proche » : de Katia Chapoutier. Editions Le Passeur.
Cet ouvrage donne la parole à ces endeuillés du suicide. Que le décès date de quelques mois ou de plusieurs années, ils racontent leurs histoires, partagent leurs expériences et prouvent que l’on peut non seulement survivre mais vivre.
Leurs témoignages sont éclairés et complétés par les regards de spécialistes, comme les psychiatres Christophe Fauré ou Xavier Pommereau, qui donnent aux lecteurs les clefs fondamentales pour se reconstruire après le suicide d’un proche, afin de vivre pleinement sa vie.
« Vivre sans toi…. Témoigner après la mort d’un frère ou d’une sœur » Edition Chronique sociale
Livre de témoignages, coordonné par Angela Triponel et Nathalie Hamza, sœurs endeuillées JPV.
Le deuil d’un frère ou d’une sœur est spécifique, différent de celui d’un parent. Il est peu reconnu, souvent minimisé et pourtant ce décès bouleverse tout l’équilibre d’une famille. Ce sont des témoignages avant tout de souffrances, mais ils parlent aussi d’espoir, de confiance, de reconstruction. Destinés aux frères et sœurs endeuillés, ces témoignages peuvent aussi aider les parents, à mieux comprendre ce que vivent leurs enfants.
« Hommes et femmes face au deuil, regards croisés ». De Nadine Beauthéac Edition Albin Michel
Lorsque la mort survient dans la famille, hommes et femmes ont souvent du mal à se comprendre. Couples, pères et filles, mères et fils, frères et sœurs, ami/es partagent la douleur de la perte mais s’éloignent. Nadine Beauthéac, psychothérapeute, spécialisée dans l’accompagnement du deuil, aborde la manière masculine et féminine d’y faire face. En s’appuyant sur la parole des endeuillés, forte, juste, courageuse et lucide, l’auteur montre que si la perte d’un être cher peut séparer les couples et les familles, elle permet également de resserrer les liens.
Apprivoiser l'absence – Adieu mon enfant de Annick ERNOULT-DELCOURT – Édition Fayard.
L’auteur qui a perdu elle-même une petite fille de sept ans, examine les différentes étapes qui vont du décès de l’enfant au choix de revivre en passant par le “travail de deuil”. Elle s’est aidée des témoignages de nombreux parents. Un livre intéressant pour des parents “comme nous”.
Annick Ernoult-Delcourt a créé l’association “Choisir l’Espoir” destinée aux enfants atteints de cancer et à leur famille.
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